Zabou the terrible

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Via Turonensis 2007 : 1

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     Nombreux sont ceux qui me demandent : "alors, ce pélé ?" (ou "alors cette marche" ?) Et ce que j'ai posté ci-dessous, mon vécu et mon ressenti général de ces sept jours, ne parvient à les satisfaire. Je vais donc faire, comme l'an dernier, un petit récit de ces 7 jours, dans les grandes lignes, en plusieurs épisodes selon mon temps mais aussi selon mon inspiration ! (je ne vais pas vous écrire : marche marche marche afin de vous épargner !  Clin d'oeil) Pour les retrouver sans pollution par mes autres posts, il vous suffira de cliquer sur la catégorie "Les chemins de St Jacques".
 
Départ
 
¤ 26 Août 2007
 
     Alors, par une belle matinée de fin d'été (ça se discute mais elle était belle par rapport à l'été que nous venions de passer ! ) qui avait été précédée d'une chouette et festive veillée d'armes chez moi, le père d'Arnaud nous conduisit en voiture jusqu'au lieu d'arrivée de nos exploits de l'an dernier, c'est-à-dire à Tours. Afin de nous lester quelque peu avant notre envol pour d'autres cieux (enfin, c'est métaphorique), il nous offrit un p'tit restau. Puis, nous partîmes : ULTREIA ! Chaud
 
Zabou, XXC et Nono devant la gare de Tours
         Le début de la marche fut peu agréable puisque nous quittions Tours alors, le paysage booof. Et puis, toutes les routes n'étaient pas indiquées sur la carte mais rassurez-vous, nous ne nous perdîmes pas ! (Ca vous étonne, vous qui connaissez Nono et moi-même ? Bon, il est vrai que nous avions un navigateur de choc en la personne de XXC, élève pilote de ligne).
 
          Le départ a toujours une saveur particulière : on compare les équipements, on se remémore les événements de l'an passé... avec peur souvent. Mes pieds tiendront-ils ? Le moral suivra-t-il ? Que découvrirons-nous ? Comment trouverons-nosu un hébergement pour le soir où nous n'en avions pas ? Et en même temps, un départ joyeux, par goût de l'aventure, de l'inconnu et par envie de poursuivre ce chemin vers Santiago, envie qui m'habite personnellement depuis longtemps.
 
          Pour cette première journée, nous avions tiré les enseignements de l'an passé : ne pas prévoir trop de kilomètres, se mettre en jambes calmement. Notre but était donc la petite mais charmante ville de Montbazon (vous ne savez pas où cela se trouve ? Regardez une carte !) où le curé, bien qu'absent, nous avait promis de nous ouvrir un local de son presbytère. En prenant les clés chez l'un de ses paroissiens, nous ne nous attendions pas à autant d'originalité !
 
         Ce sont nos deux salles d'accueil tout d'abord qui nous marquèrent : la grande était tapissée par des des images et des textes spi : initiative sympathique et originale. Mais c'est en porsuivant notre visite du lieu, puis de la ville que nous eûmes le plus de surprise.
 
A suivre...
 

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