Zabou the terrible

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Un p'tit rien au détour d'un chemin

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          Tandis que la fatigue fait son chemin et creuse toujours plus sûrement les courbes ovales de mes cernes, windows live se livre à des expérimentations gonflantes chiantes pas marrantes pas concluantes peu pratiques pour ses usagers et particulièrement néfastes aux neurones.
 
           Moi, j'm'en fous, je gratte du papier pour conjurer le sort, en espérant "toujours que le ciel me pardonne" (Reverdy) quand "la beauté force son entrée dans la petite demeure de [mon] être précautionneux" (Steiner).... et que j'en reste finalement irrémédiablement scotchée au lieu de gratter. Gratte ! Ecris, plutôt, pour parler convenablement. Mais cela tient parfois du combat, comme je le notais plus bas dans ce blog.
 
          Alors, je marche.
 
         Et puis, parfois, en relisant une partie d'un aride résumé universitaire qu'il m'incombe de rédiger, je me rends compte que la tournée des blogs effectuée lors de ma marche m'influence plus qu'une tournée des bars.
 
Histoires particulières de petits riens cependant, leurs récits font de cette « insignifiance » leur cœur, ne cherchant pas -ou plus- à se placer dans une recherche interprétative de leurs expériences
 
... et qui disent pourtant tant....
N'est-ce pas Anne-Claire ?
 

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