Zabou the terrible

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Un de passé

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Deux heures à plancher sur des sujets farfelus mais passionnants, tel celui de ce matin :
 
Existe-t-il selon vous une permanence du "moi" chez Ovide ?
 
Il n'y a qu'en lettres qu'on se permet cela : beauté de notre discipline où l'on cause de trucs qui nous feraient enfermer partout ailleurs. Et la satisfaction, toujours lors d'une dissert', d'avoir écrit un truc à soi en rendant la copie même si on a écrit des bêtises. Peut-être même surtout si on a écrit des bêtises mais en les justifiant. Et puis, il y avait écrit au dessus : "épreuve de master". Wouah, ça fait peur !
 
Bref, causons.
 
- Ce à quoi vous avez échappé parce que je ne suis pas tout à fait inconsciente :
Bah moi je pense pas. Parce qu'Ovide, ce p'tit coquin qui racontait de bien belles et poétiques cochonneries, il est mort en exil, eh ouais, c'est comme ça pas de bol. Alors, p'têt qu'il est ressuscité après, mais bon, ça c'est dans d'l'apocryphe p'têt et moi je maîtrise pas.
 
- Ce à quoi vous échappez parce que vous n'êtes pas mon correcteur (enfin, presque, mon plan étant caché) :
 I Ce qu'est le moi ovidien : tentative de définition.
II Métamorphose du moi dans Les Métamorphoses ?
III Les poésies d'exil ou la métamorphose finale : entre nouveauté et fidélité à une identité.
 
Le tout avec plein de latin et de grec, parce que le latin, on ne le dira jamais assez, c'est le bien.
 
 
En attendant, Hugo, lui, pendant que mon cerveau surchauffe, ben il a toujours aussi froid.
 
 
Et moi aussi.
Allez, sursum corda... Malgré tout.
 
On se réchauffera avec le double partiel de demain. Peut-être.
 

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