Zabou the terrible

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Sed vivam

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Il est des jours où l’on perçoit avec plus d’acuité les changements,

Ceux qui se répercutent sur la vie la plus ordinaire :  

Il faut que je l’ingère.

 

Cette année, le Carême prend pour moi des allures d’exil.

Des liens qui se distendent, loin des miens : l’exil.

 

Est-ce vraiment cela, grandir ?

 

Il faut, je crois, le muer en avancée au large, du corps et de l’âme.

 

Alors, levant les yeux, j’espère.

Et je vis.

Et je crois.

Et j’aime.

 

Mais non, pas d’illusion, rien ne sera comme avant.

Pourtant, rien, non jamais rien, n’empêchera l’Amour d’être toujours là

Il n’attendra qu’un signe,

Une main tendue ou un mot. Qu’importe ?

 

Même si rien ne sera comme avant.

 

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