Zabou the terrible

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

Parfois, ma foi

On peut suivre via Facebook aussi !

Pour lutter contre l’envahissant passé, on le camoufle subtilement sous le présent.

Oh ! Essentiel présent, moment de grâce présent même, mais non salvifique présent.

Car futur il y a, à oser regarder en face.

Un regard en face, droit dans les yeux.

Vous savez, celui qui ne se fait qu’avec tout son être, sinon il n’est pas vrai.

Il n’est pas droit, carrément biaisé et pas franc : je ne puis me le permettre.  

Si la blessure saigne, c’est donc avec elle qu’il faut regarder en face, et non contre elle, ou en lui ajustant un pseudo-bandage niaiseux qui ne lui correspond pas.

Un stigmate au cœur, on ne s’y fait jamais vraiment. Tant pis. Ou peut-être tant mieux ?

Je suis incompréhensible.

Pas grave, les réflexions ce soir ont coulé, seules parfois, le long du clavier.

Ajouter un commentaire

Les commentaires peuvent être formatés en utilisant une syntaxe wiki simplifiée.

La discussion continue ailleurs

URL de rétrolien : http://www.zabou-the-terrible.fr/trackback/566

Fil des commentaires de ce billet