Zabou the terrible

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Comme de longs échos...

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Comme de longs échos qui de loin se confondent

On pourrait commenter (ah le commentaire composé… !), on peut commenter tout ce beau poème des « Correspondances », raconter, expliquer les synesthésies baudelairiennes, tout ce qui se mêle au niveau des sens, des ressentis... Oui, on pourrait.  

 

Et puis, il peut revenir ainsi, juste comme ça, en tête…

 

Comme de longs échos qui de loin se confondent

Dans une ténébreuse et profonde unité,

Vaste comme la nuit, profonde comme la clarté,

Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.

 

Vous ne trouvez pas qu’il fleure bon la vie, ce poème, aussi ?

 

Parfois, les échos font plus que se confondre, ils se répondent, l’un, l’autre, en de troublants parallèles. Toutes ces petites choses – ces « petits riens » ? – qui, un jour, après un temps, font sens « dans une ténébreuse et profonde unité ».

 

Qui devient, au gré de nos pas, chaque jour plus lumineuse.

 

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