Zabou the terrible

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Chemin faisant

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« Pourtant, de l’époque où tous les chemins menaient à des sanctuaires, l’homme est resté pèlerin dans l’âme. Et c’est peut-être à son pas, au ras des talus et des fossés que se mesure la distance qui mène de la Terre au Ciel. »

 

in Barret/Gurgand, Priez pour nous à Compostelle !

 

Marcher, encore et toujours ;

Marcher d’un pas, d’un bon pas, du meilleur qui soit : le sien.

Parce qu’en nous ramenant à qui nous sommes, il nous emmène toujours un peu plus au fond de nous-mêmes, vers Celui qui nous donne de l’être.

 

Et marcher même dans le froid qui revient, quand on n’en a pas vraiment envie, avec ses pieds au sol et cette tête, cette fichue tête toujours un peu (trop) au ciel :

Et regarder au gré du chemin le monde ;  

Et regarder, au fil de son chemin mais en face, cette humanité charriant souffrances, joie, violence, amour et peur ;

Et, malgré tout, continuer à marcher à son propre rythme mais en osant Son regard,

Continuer à marcher en souriant, prophète de l’Espérance.

  

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