Zabou the terrible

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C'est un petit territoire à l'ouest de Paris, à la forme sympathique de haricot, bordé par la Seine. C'est un petit territoire aux réalités sociales bien différentes, aux hommes et aux femmes aussi ordinaires qu'extraordinaires. 

C'est un territoire profondément urbain et c'est aussi un petit, surpeuplé et jeune diocèse. 

Ce diocèse, c'est le mien : j'y ai grandi, j'y suis engagée, je m'en sens partie prenante. 

Aujourd'hui, deux tristes nouvelles nous sont parvenues. Je n'ai pas envie de m'y étendre parce que, simplement, j'en suis profondément triste mais les laisse écrites telles quelles pour les confier à votre prière lors de votre passage par ici... 

Merci. 

Source : http://www.eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/espace-presse/communiques-de-presse/demission-de-mgr-daucourt-eveque-de-nanterre-17468.html 

Démission de Mgr Daucourt, évêque de Nanterre

 
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Le Pape François, a accepté la démission, pour raison de santé conformément au Canon 401§2 du Code de Droit Canonique, de la charge d'évêque de Nanterre de Mgr Gérard Daucourt, fonction qu'il occupait depuis 2002.

Mgr Gérard Daucourt est nommé Administrateur apostolique pour gouverner le diocèse de Nanterre jusqu'à la prise de possession canonique de son successeur.

Né le 29 avril 1941 à Delémont (Suisse) et ordonnéprêtre pour l'archidiocèse de Besançon le 26 juin 1966, il y assuma plusieurs fonctions, d'abord paroissiale à Montbéliard de 1966 à 1971 puis diocésaines, en étant supérieur du foyer-séminaire de Besançon de 1971 à 1976, directeur du service diocésain des vocations de 1976 à 1977, supérieur du séminaire interdiocésain de 2ème et 3ème cycle à Besançon, tout en étant délégué diocésain à l'œcuménisme, de 1977 à 1983.

Il fut appelé à Rome au Conseil Pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens comme délégué de la section orientale de 1984 à 1991.

Mgr Gérard Daucourt fut nommé évêque coadjuteur de Troyes le 1er février 1991 et fut consacré évêque le 14 avril 1991. Il fut évêque de Troyes de 1992 à 1998, puis évêque d'Orléans de 1998 à 2002, avant d'être alors nommé évêque de Nanterre.

Mgr Gérard Daucourt est membre du Conseil pontifical pour l'unité des Chrétiens et de la Commission Mixte internationale pour le dialogue théologique entre l'Église catholique et l'Égliseorthodoxe.
Au sein de la Conférence des évêques de France, il fut membre de la Commission épiscopale de la Mission de France et fut Président de la Commission épiscopale pour l'unité des chrétiens de 1993 à 1999, puis membre du Conseil Permanent de 2004 à 2007.

Mgr Bernard Podvin
Porte-parole des évêques de France

Voir aussi : http://92.catholique.fr/Dernier-message-de-Mgr-Daucourt-a

 

Source : http://mobile.lemonde.fr/afrique/article/2013/11/14/un-pretre-francais-enleve-par-boko-haram-dans-le-nord-du-cameroun_3513968_3212.html

Ouverture d'une enquête après l'enlèvement d'un prêtre français dans le nord du Cameroun

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 

Le père Georges Vandenbeusch, le 7 juillet 2011. | ELODIE RATSIMBAZAFY POUR LE MONDE.FR

Un prêtre français, curé de la paroisse de Nguetchewe, a été enlevé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le nord du Cameroun, près de la frontière avec le Nigeria, a annoncé le ministère des affaires étrangères français jeudi 14 novembre. Des recherches sont en cours. Le père Georges Vandenbeusch, qui officiait encore à Sceaux en 2011, est âgé de 42 ans et avait fondé une maison pour les réfugiés chrétiens qui fuyaient Boko Haram.

Lire le portrait du père Vandenbeusch

"Nous mettons tout en œuvre pour que ce prêtre puisse être retrouvé", a déclaré le président Hollande. Soulignant qu'il avait été enlevé dans une zone considérée comme"éminemment dangereuse", il a demandé aux ressortissants français "de ne rien faire qui puisse mettre en danger leur vie ou les exposer à des enlèvements".

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour enlèvement et séquestration en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste. Il s'agit d'une démarche classique pour ce type de faits lorsqu'ils touchent des Français à l'étranger.

Lors de son enlèvement, le père Georges Vandenbeusch "se trouvait près de Koza dans l'extrême nord du Cameroun, à 30 kilomètres de la frontière avec le Nigeria", a précisé le Quai d'Orsay. "En connaissance de cause, le père Georges avait fait le choix de demeurer dans sa paroisse pour l'exercice de sa missionDes recherches sont en cours pour vérifier les circonstances de son enlèvement et l'identité des ravisseurs", ajoute le ministère.

OPÉRATIONS DE RATISSAGE EN COURS

Contacté par Le Monde, le ministre de la défense camerounais, Edgar Alain Mebe Ngo'o, a précisé que des opérations de ratissage étaient en cours pour retrouver les malfaiteurs. Des motos et des pick-up patrouilleraient dans la zone, mais pas d'hélicoptère.

Selon le vicaire de la paroisse, Henri Djionyang, joint par Le Monde, qui s'est rendu sur place après l'enlèvement, celui-ci a eu lieu aux alentours de 23 h 30. Les ravisseurs ont d'abord croisé le chemin de deux sœurs rwandaises présentes sur les lieux, à qui ils ont réclamé de l'argent, "des euros", avant de "défoncer" la porte de la chambre du père et de"tout saccager""Ils cherchaient le coffre-fort, mais comme ils n'arrivaient pas à l'ouvrir ils ont décidé de partir avec le père Georges."

"TOUS LES INDICES LAISSENT PENSER QU'IL S'AGIT DE BOKO HARAM"

Les hommes n'étaient pas masqués, l'un d'eux portait un treillis tandis que les autres étaient habillés en civil. L'opération aura duré quarante minutes. Toujours selon le vicaire, le père Georges Vandenbeusch aurait contacté au moment de l'assaut l'attaché de défense de l'ambassade de France à Yaoundé, ainsi que le commandement de la brigade d'intervention rapide (BIR), une unité d'élite déployée dans la région.

Le gouverneur de la province, Awa Sonka, précise que le commando était composé "d'une dizaine d'hommes, venus à motos, qu'ils ont laissées à environ un kilomètre de la mission". "Tous les indices laissent penser qu'il s'agit de Boko Haram", indique M. Sonka au Monde. Les ravisseurs auraient repris la route en direction du Nigeria et de Kerewa, une zone entièrement sous contrôle de Boko Haram. Ils ont laissé sur place 309 munitions de kalachnikov. Le chéquier du prêtre et un chargeur de kalachnikov ont quant à eux été retrouvés à un kilomètre de la paroisse. 

Voir aussi : http://92.catholique.fr/14-Novembre-2013-Communique-de 

Et encore : https://www.facebook.com/pages/Soutien-Au-Père-Georges-Vandenbeusch/219338954856875 

Commentaires

1. Le lundi, novembre 18 2013, 11:03 par Tigreek

(-__-)
__/\_

2. Le mardi, novembre 19 2013, 23:13 par Zabou

:-) :-) :-) !!! 

Et merci.... :-) 

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