Zabou the terrible

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Mot-clé - Farfelues fariboles

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jeudi, mars 2 2017

Carêmencer #1

Une petite série de Carême ? Pourquoi pas... Sans savoir à l'avance si je m'y tiendrai ou pas. 

Une idée en l'air : peut-être avec quelques mots en C en lien avec le Carême et un titre "Carêmencer" qui ferait rimer Carême et ensemencer. Parce qu'il y a quelque chose de cela dans cette marche de 40 jours : comme des germes de liberté à ancrer plus fermement et plus fertilement en notre vie !  

http://img.freepik.com/vecteurs-libre/ensemble-de-smileys-croquis_23-2147591902.jpg?size=338&ext=jpg

Le carême, c'est un tantinet comme le... 

... Correcteur (automatique) de mon iPhone, ou presque ! 

 

Pourquoi ? Je vous explique : tout à l'heure, j'écrivais un bête texto sur une histoire sordide de mon collège. Pour marquer mon embêtement, je l'agrémente d'un :-s smiley montrant mon désarroi face à l'affaire... et voilà que le correcteur automatique de mon iPhone le corrige en :-D me faisant par là-même sourire ! 

Le carême, c'est un peu comme cela : la conversion de nos grises mines en sourires lumineux... Sauf, qu'à la différence de l'iPhone, cela ne fait pas abstraction de notre liberté en corrigeant automatiquement : il faut y engager notre volonté, notre désir et le Seigneur pour que soient convertis nos moments de tristes sires en visages rayonnants de Lui ! 

 :-) 

 

mardi, novembre 4 2014

Des vierges phosphorescentes et de l’oraison

 

Je discutais récemment avec un ami de ce qui est à mon sens un des objets les plus kitsch sur terre : les petites représentations phosphorescentes de la Vierge Marie qu’on peut acheter à Lourdes par exemple. J’en ai une de Fatima pour ma part – ne me demandez pas pourquoi elle est restée chez ma mère lors de mon emménagement !

 

 

 

J’y repensais en constatant combien les changements de rythme (type boulot <-> vacances… ou l’inverse) sont propices à laisser se réduire le temps l’oraison, ce temps silencieux de cœur à cœur avec le Seigneur que je considère être, non, plutôt, que je sais être, vital.

 

J’y pensais parce que ces bouts de plastique de pseudo-représentations, mine de rien, rapprochés d’une bonne grosse source lumineuse, ils rayonnent…

Tandis que, quand on omet de les présenter à la lumière, ils deviennent ternes et peu lumineux.

A l’inverse, l’objet phosphorescent bien chargé en lumière rayonne de telle façon qu’il devient moins moche, vraiment plus chouette : on remarque plus la lumière qu’il diffuse qu'autre chose.

 

Peu importe le contenant, c’est le contenu qui compte :

Alors, en prenant le temps de s’approcher du Seigneur, qu’est-ce que cela pourrait être, qu’on soit fait de bouts de plastique glauques ou raffinés !

Devenir non pas des lumières mais rayonner Sa lumière….

N’importe qui peut devenir rayonnant car, si tous les matériaux ne sont pas photosensibles, nous sommes tous Deo-sensibles : 

Il suffit de s’exposer à Lui ! 

 

vendredi, octobre 31 2014

A laisser traîner n'importe où

    Après la pub éhontée et évidemment véridique faite par l'ami David, je me devais de lire le fameux fourbi et orbi (oui, oui, je sais, ce n'est pas le vrai titre, l'auteur l'a perdu à une partie de chifoumi selon la légende urbaine) du gars Edmond. 

Mais ce titre il conviendrait bien car, plus que des antisèches qui viseraient à répondre à un quizz (sauf si vous souhaitez participer à celui de KTO... et je sais de quoi je parle pour les antisèches, je suis prof !), ce livre est un vaste fatras ou, au choix, une vraie caverne d'Ali baba relookée avec nos diverses bondieuseries souriantes accumulées au fil des siècles.

Si on n'apprend pas forcément tout quand on aime déjà depuis longtemps parcourir l'Église l'oreille aux aguets et le sourire en bandoulière, on en apprend tout de même de belles ! Et les anecdotes sont toujours tournées de manière à solidement faire fonctionner nos zygomatiques (en ce sens, je soupçonne un sponsoring par mangerbouger.truc, on ne pense jamais assez combien nos muscles travaillent quand nous rions). Du coup, tout cela fonctionne bien et vous essaierez même de convaincre vos amis anti McDo de revenir à l'occaz puisque l'un de leurs burger est catholique ! 

Bref, un livre pas forcément à lire d'une traite comme je l'ai fait mais plutôt un livre de choix pour musarder, pour flâner, pour vous amuser, ou encore à laisser traîner dans vos toilettes pour que vos visiteurs vous lancent sur les sujets catholiques les plus graves et les plus importants en sortant de là ! ;-) 

P.S. : L'illustration est prise sur le site de la procure... Où vous pouvez contempler l'ancien sous-titre de l'ouvrage ! ;-) 
P.S. 2 : on peut notamment commander le livre par ici.  

jeudi, juillet 11 2013

De Candy crush et autres considérations sur la confession régulière

 

À cause – ou grâce, je ne sais pas – de mon travail au secrétariat du bac, j’ai découvert le jeu Candy Crush sur mon téléphone : petit jeu sympathique, délicieusement addictif. Le principe ? Rien de bien neuf : faire des lignes de trois éléments pour les faire exploser.

 

 

Pouf, voyez comme c’est joyeusement coloré !

 

La nouveauté réside dans les différentes « missions » proposées qui varient les plaisirs ET les obstacles, toujours liés aux confiseries puisque ce sont des bonbons qu’il s’agit d’exploser.

 

Depuis quelques niveaux, c’est le chocolat qui est apparu. Le chocolat, voyez-vous, c’est sympa en soi, ça fait super envie. D’autant plus qu’au début, c’est super localisé dans le niveau, c’est pile dans les côtés, élément marginal.

 

 

Vous voyez, avec ça, il y a encore de la place pour le reste !

 

Le problème du chocolat dans ce jeu c’est que, dès qu’on n’y touche pas, dès qu’on ne fait rien pour l’enlever[1] eh bien, ce chocolat, il prolifère. Et il prolifère tellement qu’il en devient énorme et central !

 

 

Et voilà le (non-)travail : ça en fait des tablettes de chocolat tout ça !

 

 

Mais le chocolat, c’est exactement l’exemple type du péché : non pas que le chocolat soit mauvais, bien au contraire[2], mais, comme ça, il semble mignon, si peu important, complètement inoffensif… N’est-ce pas ce à quoi ressemblent nos péchés parfois ? Parce que le gros péché, là, même s’il est dur à confesser on le voit bien mais quid de tous nos manques d’amour quotidiens ? « Bof, c’est pas si grave, c’est un truc marginal dans ma vie… puis ça ne m’empêche pas de vivre, ça ne m’empêche pas d’aimer ! » 

 

Cela fera bientôt 4 ans que j’ai fixé pour ma part un rythme régulier pour recevoir le sacrement de réconciliation – sans doute trop peu important, mais là n’est pas l’objet de cet article – et, finalement, sur ce laps de temps, je me rends compte que j’achoppe presque toujours sur les mêmes points, sur les mêmes péchés. Bien sûr, vus comme ça de l’extérieur, certains sembleraient minimes et pourtant… non.

 

Parfois, j’en ai plus qu’assez de les confesser ces points-là parce que j’ai l’impression humaine que cela ne sert à rien. Et là, voyez-vous, le chocolat de Candy crush est pile l’exemple qu’il me faut pour m’encourager, pour me montrer leur importance : parce que, si je ne fais rien – ou plutôt, si je ne demande pas au Seigneur de venir les exploser par la force de Son Amour – ils prolifèrent.

 

Non seulement le péché prend alors de plus en plus de place et on s’habitue à le voir à une place de choix, centrale, mais, plus grave encore à mon sens, il prend surtout toute la place de notre vie qui serait disponible pour aimer. Il ternit tout, il uniformise tout, il englue tout.

 

Décider d’aller demander pardon avec confiance, c’est la pichenette, le petit mouvement qui déclenche l’explosion en chaine du péché : alors la vie redevient un peu plus lumineuse, parce que l’Amour aura redonné à chaque chose et à chacun sa juste place dans notre existence, aimée, pardonnée, libérée.  

 



[1] Notez bien que je n’ai pas parlé de le dévorer, hein…

[2] Foi de chocolatophile ! 

mardi, mai 21 2013

Concours de légende pour un certain vitrail...


Vitrail vu à Reims ce jour... 

Et vous, vous en pensez quoi ? ;-) 

samedi, mars 23 2013

Hos… armes

 

J’ai l’esprit si bizarrement fait que, depuis mon enfance et, sans doute, certaines mélodies de Sanctus hasardeuses, il m’arrive d’entendre lors du chant d’un HOSANNA un vigoureux « aux armes » ! Et, même quand la mélodie ne s’y prête pas, il m’arrive bien souvent d’y songer[1].

 

Je ne vous dis pas ce que je pense alors durant la procession des Rameaux… Transformation d’un cri de joie en cri guerrier ! Si quelqu’un pouvait lire dans mes pensées, j’aurais grave la honte[2]… ! Du buis à l’épée ! Mais après tout, l’on brandit bien les deux !

 

J’y pensais tout à l’heure en remontant l’allée centrale lors de la messe des Rameaux... mais je me disais finalement que ce n’était pas si grave car le Christ venait tout inverser :

 

Il laissait passer nos cris de joie sans s’y attarder, pour s’avancer vers sa Passion, pour aller à la croix, suprême pauvreté ;

Il laissait passer nos cris guerriers comme celui de Pierre défonçant coupant l’oreille du garde pour arriver au plus grand des abandons et à la nudité désarmée ;

Il laissait passer nos cris accusateurs pour ne jamais se départir de Son Amour et de son regard posé sur chacun, même sur celui qui vient de le renier ;

Il laissait passer l’instrument de torture, la croix, pour en faire, pour y dessiner le signe de Son Amour ;

 

Rameaux,

Ouverture d’un temps privilégie, d’une semaine sainte

Pour aller de l’hosanna douteux, mal assuré de nos joies passagères, au cri de victoire suprême, incontestable, né dans la pauvreté mais à la joie éternelle, celui de l’All***ia !

 



[1] On ne se moque pas, svp !

[2] Oui, je sais, je suis justement en train de me donner le bâton pour me faire battre. 

mercredi, octobre 31 2012

Une nouvelle appli : retraite 3.1 !

 

Lors de mes trois jours de retraite, j’ai découvert une nouvelle appli.

En bonne cathogeek, je vous en fais part dès mon retour, la voici !

 

 

Photo à peu près contractuelle

 

Nos points forts :

- Une écoute de la Parole de Dieu qu’est le Christ. Ce dernier étant aussi Lumière du monde comme le rappelle l’icône servant de pied à la lampe de bureau.

- Une mise à jour permanente… même si vous ne la voyez pas ! Elle a en effet lieu directement en vous, au plus profond de votre être ! Les effets apparaissent en surface suivant une durée variable qui dépend de l’importance de la mise à jour (on parle aussi, en jargon technique, de « conversion »).

- 2 écouteurs mais seulement un micro, pour se rappeler qu’on doit écouter deux fois plus que parler mais qu’on peut aussi tout Lui dire ! Même crier au secours !

- Silence intégré.

 

Et, surtout, surtout, une compatibilité garantie avec iOS 5+ tous les systèmes d’exploitation !

 

Alors, elle est pas belle la vie ? Qu’attendez-vous pour la télécharger ?

 

jeudi, août 30 2012

Who is love ?

A la question de la chanson, what is Love ; à Rome, ils ont trouvé une solution... Ou plutôt, ils ont pris la réponse dans la Bible : il suffit de changer légèrement la question d'un mot, en "who is love" ! Et l'on obtient une magistrale réponse : 

 Deus caritas est :-) ! 

jeudi, août 16 2012

"Il" est partout !


... Surtout là où on L'attend le moins ??? 

J'espère tout de même que la construction est sur le roc ;-) 

mercredi, mai 30 2012

Dans la mouvance de l'Esprit


       J'ai récemment dû passer le C2i2e - si vous ne savez pas ce que c'est, peu importe, vous ne ratez vraiment rien : en résumé une certification d'informatique à l'usage des enseignants. Je passerai sur le contenu, sur le temps pris et autres "joyeusetés" découvertes pour m'arrêter sur le questionnaire juridique de la formation qui m'amena à consulter les textes officiels se rapportant à la propriété intellectuelle.

Pourquoi ? Pour répondre à une simple question : "les sermons sont-ils considérés comme oeuvres de l'esprit" ?  


Suspens... 




La réponse est donc oui


Malheureusement oui, oserais-je dire. (Et là, je sens déjà les doigts de mes amis prêtres en train de se refermer sur mon cou pour m'égorger ;-)


Je dis cela parce que ne serait-il pas préférable, plutôt, que les sermons soient, avant tout, oeuvre de l'Esprit ? Il n'y a certes pas là contradiction entre les deux mais il y a sans doute conversion. 


Je connais un prêtre qui dit souvent qu'il faut prier pour le prédicateur lors d'une messe : je crois qu'il a raison, que tout est là, que là réside la conversion de l'oeuvre de l'esprit à l'oeuvre de l'Esprit. 

Conversion dans les mots qui sont dits, dans les mots que nous entendons, dans les mots que nous comprenons, dans les mots que, finalement, nous gardons... 


C'est valable pour les prêtres et leurs sermons, c'est valable pour nous tous, pour toutes nos productions, qu'elles soient intellectuelles ou non, peu importe. Il ne s'agit pas de les mépriser - c'est grand ce qu'est capable de produire l'esprit humain ! -, il s'agit de les laisser simplement se (trans)former en Lui. 


Laisser l'Esprit à l'oeuvre dans notre esprit : c'est capital(e). 


Et là, aucun texte officiel, juste un truc parfois un peu zarb' qu'on appelle la prière et dont on ne sait jamais très bien où elle va nous mener... mais le copyright divin, c'est-à-dire complètement libre de droits parce qu'entièrement donné, y sera alors apposé ! 

samedi, avril 14 2012

Geekophilie ou théophilie jacquaire ?

 

Roncevaux, magnifique petit village niché au cœur des Pyrénées espagnoles.

 

Lieu d’arrêt et de soin pour les pèlerins, voulu il y a des siècles par l’évêque de Pampelune « ému du sort des pèlerins qui se faisaient gniacker, bouffer, dévorer par les loups », le village appartient encore aujourd’hui à l’Eglise catholique et presque la moitié de ses 25 habitants sont des prêtres !

 

Roncevaux et la drôle de croix de sa collégiale, voyez plutôt :

 

 

  

Cela me faisait penser à quelque chose mais je n’arrivais pas à savoir à quoi… 

Un peu plus loin, un bas relief m’éclaira :

 

 

 

Ca ne vous fait penser à rien, vous ? Inversez donc l’image… 

 

 

 

Oui, oui, on arrive bien à ça !

 

Loin de l’image qui tournait sur le net il y a quelques mois qui transformait la croix en f bleu évocateur, il y a tout de même ici bien une réalité sociale :

Parce que parcourir le Camino, c’est vraiment lire au rythme des pas, de nos rencontres et de nos prières, un faith-book ;

Un réseau de marche, un camino, où l’on apprend à se découvrir non pas « friends » mais fils d’un même Père, frères.

 

mardi, janvier 3 2012

Jésus Christ, il fait pas pschitt

Le soir du 31, en ouvrant une bouteille de coca (oui, oui, je sais...), 

j'ai remarqué un slogan sur le bouchon, qui m'a immédiatement donné envie de le détourner... 

Vous devinez en quoi ? Ou plutôt en Qui ?   

Après, tout, Il dit bien qu'il est la Porte, alors pourquoi pas le goulot ? 


On pourrait même s'en servir sur la Bible pour donner envie de la lire comme Parole vivante ! 

Et garantir la non-débullisation perpétuelle ; 

mais au contraire promettre un gain en légèreté et une multiplication de la pétillance des journées ! 

... 

Comment ? C'est nul ? 

... 

Ok, ok je vais me coucher, vous l'aurez voulu ! 

mercredi, décembre 21 2011

Santons mais pas sans teint


La crèche, c’est toujours un joyeux bazar, surtout quand c'est moi qui l'organise ! 

 

 

 

Elle est grande, bizarrement installée pour éviter les atteintes d’un roux félidé mais, surtout, constituée de toute une humanité « santonnée ».

Lire la suite...

samedi, novembre 12 2011

Déchristianisation massive...


... ou simple problème d'onomastique belge ? 

A un coin de rue discret

Vu à Bruxelles

dimanche, octobre 23 2011

Jésus, blogueur influent

 

Hier soir, en priant avec l’Evangile du dimanche, j’étais un peu distraite… Et si Jésus avait été blogueur ?

 

Je me suis amusée à imaginer des billets d’Evangile, pleins de sa fraicheur dérangeante, vivifiante, impertinente, savoureuse, toujours renouvelée, et puis… Et puis non.

 

En fait, ça n’aurait pas marché.

 

L’Evangile, il n’est pas fait pour être simplement écrit, il est fait pour être vécu.

Et puis, ce n’est même pas l’histoire d’une vie (ou d’une âme !), c’est bien plus fort que cela : c’est une vie.

Et pas n’importe laquelle !

 

Alors, entre l’affadissement de la Parole et le peu de followers qu’il aurait attiré à donner des crochets du droit en plein cœur du genre « il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ». (Nan mais franchement… vous Lui en imaginez beaucoup des lecteurs pour Le suivre dans pareille folie ?)  

 

Pourtant, comme il est d’usage de le souligner, Jésus, il a commencé tout petit : 12 types pas vraiment tous recommandables et quelques dizaines de disciples. Et aujourd’hui, un milliard !

 

Mais justement, c’est qu’Il est la Parole de Dieu, c’est qu’Il est le Fils de Dieu qui a donné sa vie par amour pour nous…

 

Et là, ça change tout parce que tout cela, ces deux commandements chocs qui résument tout et qu’on a entendus aujourd’hui :

« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement.

Et voici le second, qui lui est semblable : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tout ce qu’il y a dans l’Ecriture – dans la Loi et les Prophètes – dépend de ces commandements. »

 

Il les a vécus. Et Il nous invite à faire de même.

A aimer, à en vivre, à en mourir :

Pour Le proclamer.

 

Alors, 

Avec la tonne de commentaires qu’il a suscités : depuis les bouquins des Pères de l’Eglise jusqu’aux plus récents blogues cathos ; 

Avec les followers qu’il s’est attiré par milliers au fil des siècles : des plus saints aux plus balbutiants qui s’efforcent de se convertir jour après jour ;

Je crois qu’on peut dire que Jésus, sans être blogueur, est sans doute LE blogueur le plus influent de tous les temps, rien qu’avec ce genre de commandements : "tu aimeras..." 

 

Oh, certes, ce n’est pas assez : il y a tant à aimer !

Mais c’est déjà pas si mal, pour une sacrée Bonne Nouvelle ! :-)