Zabou the terrible

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samedi, février 13 2016

A l'école de la sainteté avec Péguy

Incroyable diversité du peuple de Dieu, unie dans une même marche : une unique vocation à la sainteté quelle que soit l'origine, quel que soit le passé... Grandir ensemble sous Son regard, même dans l'opacité, vers la lumière, en apprenant Sa miséricorde : un enjeu de la vie, peut-être encore plus spécifique et fort en Carême. 

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"Il y a deux formations, 

Il y a deux extractions, 

Il y a deux races de saints dans le ciel. 

Les saints de Dieu sortent de deux écoles. 

De l'école du juste

et de l'école du pécheur. 

De la vacillante école du péché. 

Heureusement que c'est toujours Dieu qui est le maître d'école. 

Il y a ceux qui viennent des justes et ceux qui viennent des pécheurs. 

Et ça se reconnaît. 

Heureusement qu'il n'y a aucune jalousie dans le ciel. Au contraire. 

Puisqu'il y a la communion des saints." 

Charles Péguy, Le Porche du mystère de la deuxième vertu

vendredi, septembre 5 2014

Péguy le mystique et l’antimoderne – en l’honneur du centenaire de sa mort

 

« Charles Péguy a vécu pour l’humanité et il est mort pour défendre la conception grotesque qu’avaient de l’honneur national les pires de ses compatriotes. »

 

Notice nécrologique de Charles Péguy par Walter Benjamin (traduite par Hella Tiedemann-Bartels)

 

 

 

 

 

Afin de valider mon UE d’allemand en master 2, j’avais réalisé à l’époque un mini-mémoire sur « la réception critique de Charles Péguy par Walter Benjamin ». En ce 5 septembre 2014 où nous rappelons la mort de ce grand écrivain français, je publie ici en guise d’hommage quelques extraits de ma dernière partie d’alors, intitulée « Rechtsdenken ? La réception d’un écrivain pour qui la politique est une mystique » et de ma conclusion qui ne manquent pas de lien avec les sujets habituels de ce blogue. Attention, c’est un peu long : mais Péguy mérite bien qu’on s’y arrête !

 

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