Zabou the terrible

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Mot-clé - Voyages

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vendredi, juillet 31 2009

ZD une bonne idée

 
Jeudi prochain, je passe un examen qui montrera, peut-être, mon niveau d'allemand. Mais ce n'est pas tout !
Voilà en effet tout ce que je pourrai faire APRES une éventuelle réussite selon la brochure.
 
  • Après avoir réussi cet examen, vous pouvez par exemple

    • être en mesure de comprendre les informations essentielles des conversations, des annonces publiques et des messages radio, même dans les détails,
    • comprendre précisément les principales informations des articles de journaux, des statistiques et des descriptions se rapportant à la vie quotidienne,
    • rédiger des messages cohérents, privés ou informels, comme des lettres ou des e-mails,
    • participer à une simple conversation sur un sujet qui vous intéresse personnellement, donner votre avis en quelques mots et réagir de manière appropriée à l’opinion de votre interlocuteur,
    • faire le récit d’une situation de la vie quotidienne, soumettre une proposition ou convenir de quelque chose.

Ah ben quelle chance ! Je me demandais bien ce que j'allais pouvoir faire après...
 

mercredi, juillet 29 2009

Université libérée ?

 
         Puisque j'ai trouvé un cybercafé avant de me rendre à une prière de Taizé, j'en profite pour partager une page culturelle. En effet, ici, j'ai pu découvrir que ma chère collègue n'avait rien inventé en gravant pour la postérité de médiévales histoires sur les tables d'une certaine université. (Voui, je cafte). A Heidelberg se trouve une curiosité locale très importante : une prison pour étudiants !
 
 L'entrée.
 
Pourquoi donc ? Car les étudiants d'ici avaient trouvé moyen d'avoir leur propre juridiction ! Et il fut de bon ton durant tout le XIXème siècle - et ce jusqu'en 1914, date de fermeture de la prison - d'avoir fait un tour par le cachot pendant ses études. On pouvait y jouer aux cartes, y manger... et y boire, assister aux cours en passant par une porte menant à l'université et, surtout, décorer tous les murs !!!
 
 
Comment s'y rendre ? Il suffisait d'un peu d'imagination : tapage nocturne, jouer avec le képi d'un policier ou, le grand jeu de l'époque, libérer porcs et porcinets dans les rues de la ville ! Que d'amusement ! Sur les murs, on peut lire des détournements de poèmes, de chansons, des signatures, des dessins ou encore des indications très importantes.
 
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Quel luxe en ces lieux !!!
 
 
 
 Tout cela parce que les étudiants furent toujours des anges ! Non ?
 

lundi, mars 9 2009

Bande de touristes ?

 
En l'église de Granville
 
(Cliquez sur la photo pour mieux lire)
 

mardi, février 10 2009

Ma foi...

 

                Avec ses terres brûlées au vent, ses landes de pierre, ses vastes étendues, ses lacs, lochs et ses mers, on pouvait bien se douter que l’Ecosse, loin d’ouvrir seulement à un quelconque "imaginaire celtique" ou encore à un bête tilleul menthe, ouvrait aux sens la possibilité d’un accès à l’esprit. Voilà donc ce que je me propose de vous faire découvrir ici dans un rapide exposé : l’Ecosse spirituelle. En trois parties, cela va de soi, et en images.  

I Découverte de l’altérité : accueil ou peur ?  

La première étape de tout voyage est la découverte (ah, je note ce topos, ça servira pour mon futur tutorat de "littérature des voyages". Ou peut-être tout ce billet, histoire de regarder leur tête). Encore plus que chez nous, nous voilà confrontés à l'altérité, passionnante et délicate à la fois (pensez donc ! Ces gens-là parlent anglais !).

Cette découverte, il convient de la faire, nez au vent, au gré des rues...

 

Super !

Babel ou vraie Pentecôte ? Il y a plein de langues différentes sur la vitrine !

On dirait qu'il y a même une affiche en français ! Ils ont des méthodes d'Evangélisation de oufs ces Ecossais. Je m'approche.

Hum, en réalité, toutes les affiches font peur et donnent envie de prendre ses jambes à son cou. Si cette dernière est encore assez douce, les autres nous représentent un Dieu père fouettard, peu compatible avec le Dieu auquel je crois, celui des chrétiens. Qui sont ces gens ?

Brr... Il fait froid d'un coup.

Et pour lutter contre le froid, il faut... manger ! (Ah, quelle superbe transition que voilà Zabou, splen-dide !)

II Les Nourritures spirituelles.

Y a-t-il besoin de commenter cette photo si parlante ? De la nourriture pour l'âme ! Dans un café !

Qui oserait encore dire qu'il manque à notre monde un supplément d'âme ?

(-Moi m'dame, moi !

-La ferme)

J'en suis restée coite.

Du coup, histoire de ne pas me laisser abattre, j'ai commandé un chocolat chaud aux chamallows.

Heureusement car je n'étais pas au bout de mes suprises, dans mes pérégrinations sur cette terre celtiquement et conceptuellement spirituelle.

III L’Ecosse, nouvel Eden.

L'Ecosse, ce n'était rien de moins que le Jardin de l'Espérance !

En route pour un nouvel Eden ?

 

mercredi, février 4 2009

Bizuthage effectué

 
J'ai mangé un snickers frit, je répète, j'ai mangé un snickers frit.
 

dimanche, février 1 2009

H-quelques

 
Peuh, il fait froid ou chaud là-haut ? De la neige qu'elle disait ! Bon, prendre des timbres français, ça peut servir (j'ai la flemme de les enlever de leur pochette mais ne le répétez pas). Ah ne pas oublier mon grec biblique aussi, très important. Bref. Méditation ultime sur mon sac : quelle folie d'aller dans un pays barbare où l'on parle anglais ! Pourquoi ai-je donc répondu positivement à ses mails, écrits en latin, hein ? On ne cessera de se poser la question. En plus, on m'a chargée d'un sac ultra-lourd de salutations pour la miss : pff !
 
Bon, c'est pas tout ça, départ dans quelques heures pour le Grand Nord.
 
 

mardi, novembre 11 2008

Bol d'air

 
Vertigineuses pensées...
 
pour cerveau éreinté
 
= Zabou reboostée.
 
Au travail !

jeudi, octobre 30 2008

Petit lexique du masterant sorbonnard

 
 
 

Bibliothèque : la tanière du masterant et de ses aînés thésards. Il y vit et la repousse tout à la fois, dans une relation complexe, faite d’amour et de haine. Lieu de sapience, lieu silencieux et sacré, la bibliothèque est aussi le lieu où il souffre, par ses yeux déchiffrant de minuscules notes de bas de page, par ses jambes qui en ont marre d’être ainsi repliées, par son dos qui n’aime pas le dossier en bois de la chaise trop longtemps, par son esprit qui divague parfois au loin… O bibliothèque… !!!!

Communication : 1. Tout change de nom. Mutatis mutandis, il s’agit d’un exposé d’étudiant plus érudit, plus long,  plus classe, fait généralement par de vénérables professeurs (loués soient leurs noms !) ou leurs thésards dans lequel le délai imposé par le maître de jeu (comprendre le directeur de la séance) n’est jamais respecté.

Ex : « Je vous donne 25 min ? » « oui, ça ira ». 30 minutes après se tournant vers le Mdj : « mais je suis peut-être en train d’abuser…. » « Encore 5 min ? ». 10 bonnes minutes plus tard, la communication prend fin… mais il reste les questions (voir ci-dessous) ! Ah, quand on est passionné…

2. Il est d’usage d’applaudir après une communication : l’histoire ne dit pas si l’on a droit à un bis en cas d’applaudissements particulièrement nourris.

Compte-rendu : Nouvel exercice auquel le masterant doit se rompre. « Vous me ferez un compte-rendu… ». Certes. Mais personne n’a jugé bon de lui expliquer ce qu’il doit exactement y faire. Alors, il inventera et priera très fort pour que cela passe.

Directeur : Professeur auquel le masterant a prêté allégeance, devenu donc de ce fait « son directeur ». Dans le fond, le masterant connaît encore mal son directeur mais il ne peut s’empêcher d’en parler avec ses petits camarades de jeu et de l’admirer. Et chaque masterant d’admirer son directeur : c’est beau.

Horaires : non, impossibles à tenir : que diable, nous ne sommes pas des scientifiques ! Et la séance de 3 heures durera toujours 4. Normal.

Mémoire : chuuuuuut !

Professeur : Pour cette question, je ne peux que vous renvoyer à l’excellent travail synthétique de ma collègue Melle Maggy qui a payé d’elle-même pour écrire ce fabuleux comparatif « France/Ecosse », qui ne permet au final que de mieux comprendre ce qu’est un professeur de la Sorbonne. Un vrai.  

Questions : Après les communications, ecce rogationum tempus ! Et là, le masterant, stupéfait, voit se lever des mains de profs. Pas toujours pour des questions, plutôt pour des précisions sur les liens à faire avec telle œuvre, ou tel auteur, comme ça, de tête, sans notes. Le masterant se dit qu’un jour, lui aussi, il aura la classe.

Table ronde : « J’ai eu l’idée d’une table ronde. » : ah, Kaamelott ?

Des gens proposent des « communications » (voir ci-dessus) plus courtes mais je n’ai pas encore réussi à constater d’autres différences : peut-être est-ce parce qu’il est délicat de monter une table ronde au 3ème étage de la Sorbonne ? Surtout dans un amphithéâtre ?

A suivre.

 

samedi, août 16 2008

C comme (la) Communauté

 
       Je ne puis, m'acheminant doucement vers la fin de ma série "Maroc 2008", omettre de parler d'un élément constitutif fort de cette expérience de 3 semaines à l'étranger même s'il peut sembler trivial : la communauté !
 
        Il y avait certes les Marocains avec qui nous passions la majeure partie de notre journée mais aussi les quelques personnes, mes compagnons de voyage, avec qui j'étais 24h/24. Et avec qui j'ai partagé moments extraordinaires et moments difficiles, moments de peine et de joie, moments d'avancée joyeuse et aussi de remise en question profonde.
 
Respect et robustesse, hommage à chacun d'entre eux !
 
 
 
Notre amie marocaine Sanae, Anne-Cécile, Sandrine, Anna, Béatrice, Marion and Zabou.
(ou comment faire la preuve que la dernière place est la meilleure !)
 
 
A ces filles, il convient de rajouter...
 
 
... Michel (ici après attaque de "ses" gazelles !
Palme du mérite gagnée à force de nous supporter)
 

mardi, août 5 2008

Desert

 
Nuit sous la voute celeste + lever de soleil + messe :
Moment completement.. magique, pas d autre mot pour decrire cela.
 
Et 7 Francais chantaient  doucement parmi les Marocains, conquis eux aussi par le spectacle, une bien vieille priere, ecrite par un certain Ignace :
 
Prends Seigneur et recois toute ma liberte
ma memoire, mon intelligence
et toute ma volonte
 
Et donne-moi, donne-moi, donne-moi seulement de t'aimer
 
Reçois tout ce que j'ai, tout ce que je possède
C'est toi qui m'a tout donné.
A toi, Seigneur, je te le rends
 
Et donne-moi, donne-moi, donne-moi seulement de t'aimer
 
Tout est à Toi, disposes-en selon Ton entière volonté
Et donne-moi Ta grâce
Elle seule, me suffit
 
 Et donne-moi, donne-moi, donne-moi seulement de t'aimer
 
avant une messe au silence d une densite folle.
Solitude et plenitude.
Petitesse et immensite.
 
Magique oui.
 

samedi, août 2 2008

Z'avez dit Sorbonne ?

 
             Il paraît que, quand on étudie à la Sorbonne, tout notre être s'en ressent et qu'il devient facile de coller une étiquette à valeur péjorative ou méliorative selon les personnes : "Sorbonnard(e) !!!" C'est peut-être vrai, je l'ignore même s'il existe de fait une certaine contagion. Mais notre université fait aussi tout pour se dinstinguer et garder son prestige qui lui vient des fonds des âges. Sérieux ? Oui, promis.
 
             Ainsi, désoeuvrée par les vacances (enfin, euh, non), j'ai récemment découvert la page d'erreur 404 de ma chère université. Alors, alors ? Tout un poème ! Comme vous pourrez le constater ici par exemple, non content d'être accueilli par une superbe voiture, vous retrouverez nos chers tics universitaires ! Je cite :
 
"D'ailleurs, http://www.ietf.org/rfc/rfc2616.txt?number=2616 (HTTP/1.1) nous dit :"
 
Et, plus loin, un mépris microsoftien affirmé :
"et comme le texte de cette page fait plus de 512 caractères, exploseur l'affichera au lieu de son propre baratin..."
 
Ce qui nous vaut peut-être cette considération infiniment puissante (et étrangement perspicace ?) de la part de l'étranger :
 
Vite ! Où est passé mon bonnet d'âne ?
 

vendredi, août 1 2008

Sourires

 

Peu de mots à dire car c’est peut-être, justement, ce qui dépasse le plus facilement les mots et engendre une compréhension au-delà de la barrière linguistique, si présente notamment avec les petits.

 

Car il y a une façon de tendre une main avec son visage. Une façon de sourire avec son cœur.

Et le dialogue naît alors, même sans se comprendre autrement. On peut marcher, jouer ensemble : tout semble simple. Et l’éclat de rire peut alors même naître de broutilles, dans la pleine présence à une joie partagée.

Avec Ajar

Au Maroc, j’ai vu des myriades de sourires naître sur les lèvres des enfants : je ne peux les oublier.


 

Impuissance

 
De l'arrivée au départ
 
On part avec des idées, son dynamisme, l'envie de tout bouger, l'envie de tout donner.
Et...
L'on se retrouve au lit avec 40 de fièvre, la tourista, des vomissements et des évanouissement dans le confortable lieu des escaliers.
Expérience déplaisante, remuante, révoltante.
 
Ma table de nuit
 
Et pourtant, pourtant...
Il faut mettre tout cela de côté et apprendre à passer de l'engagement au désengagement... puisqu'il en est ainsi.
Apprendre la démaîtrise, apprendre à accueillir. Expérimenter pour de bon dans ma vie que c'est lorsque je suis faible... que je suis fort ? 
Expérience fondatrice.
 
Un jour, on est de nouveau sur ses pieds, prêt à re-donner mais prêt à toujours recevoir tant la perspective s'est élargie.
S'engager dans l'action, comme au départ dans chacun de nos actes, mais dans une grande conscience de sa faiblesse humaine, de son impuissance face à l'immensité de ce qu'il reste à accomplir.
 
Nous n'étions qu'une goutte d'eau, offrant nos petites mains juste pour servir à notre humble mesure.
 
C'est peut-être cette prise de conscience qui nous faisait chanter ainsi, sur le bateau qui nous ramenait vers l'Europe...
 
 
... "Vous serez vraiment grands
Dans la mesure où vous êtes petits
Vous serez alors grands dans l'Amour
Vous serez alors grands dans l'Amour."
 
 

jeudi, juillet 10 2008

Bien arrivee !!!

 
Salam aleikhoum !
 
(suite un autre jour, si je peux mais sachez que tout va !)

lundi, juillet 7 2008

Quelques proverbes berbères

 
Drapeau berbère
 
- Celui qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles.
- L'arbre s'est plaint de la douleur à la hache, laquelle lui répond que le manche vient de lui.
- La langue n'a pas d'os, tu la déformes comme tu veux.
- L'homme bien né dit toujours du bien du lieu où il a pasé la nuit.
- L'homme puissant est souvent sans coeur, l'homme bon est souvent sans puissance.
 
- Le feu enlève toute impureté.
- Les dents ont beau rire, le coeur sait la blessure qu'il porte.
- Les soucis enlaidissent, c'est la joie qui fait fleurir.
- Les voiles des coeurs sont déchirés quand les coeurs se regardent en face.
 
- Qui voyage ajoute à sa vie.
- Si Dieu ne pardonnait pas, le Ciel serait vide.
- Un ami est meilleur que le lait.
 

mardi, août 7 2007

Coucou d’Islande

    Je profite d’un acces internet inespere dans mon hotel au nom incomprehensible dans un village au nom incomprehensible pres d’un lac dont le nom est, encore une fois vous l’aurez compris, incomprehensible. Bon, ce petit delire pour simplement vous dire que je vais bien meme si la France me manque aussi un peu je dois dire.
 
Bises a tous mes lecteurs (vous voyez, j’en arrive meme a ces extremites ! Ah le mal du pays !!!)
 
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lundi, août 29 2005

Catéchèse Mgr Daucourt 19 Août

Catéchèse Mgr Daucourt
"Vivre dans le monde en véritables adorateurs"
 
Adorer, c’est une attitude permanente.
 
Puisqu’à leur suite, nous allons rencontrer Jésus, il nous faudra repartir avec tout ce qu’on a reçu. Et donc être des adorateurs dans la vie quotidienne et pas seulement lors de l’adoration. Ca ne veut pas dire tout le temps prier mais se comporter dans notre vie en adorateurs. Car nous sommes tous appelés à être "sel de la terre et lumière du monde" et pas seulement à l’église. Cette lumière ne peut pas être cachée ! Ce témoignage d’adoration est donc public et pas par des signes ou une pancarte "Jésus".
 
Il y a donc des moments pour nous ressourcer avec l’adoration "condensée" mais pas que cela car nous devons repartir. Et c’est dans notre vie quotidienne que nous devons être des adorateurs. Il faut être des adorateurs dans l’Esprit et la vérité. C’est dans cet Esprit que nous devons être adorateurs car c’est l’Esprit de Dieu qui nous saisit. Le prêtre et l’ évêque ne sont que des instruments : c’est l’Esprit qui agit et qui modifie.
 
Nous prions et adorons le Père dans l’Esprit qu’il nous donne et en vérité. Nous devons avoir des relations très fraternelles avec nos frères croyant en un Dieu unique mais dans la prière nous adorons la trinité, contrairement aux religiosn non-chrétiennes. C’est dur de trouver un juste équilibre entre le rejet et le "toute les religions se valent". Nous allons vers les autres dans la fidélité à notre foi.
 
"Nous étions ensemble pour prier
mais nous n’avons pas prié ensemble"  (Jean-Paul II)
 
A Assise, ils ont jeûné ensemble mais aps prier. Attention cependant c’est possible avec nos frères d’autres religions chrétiennes. Avec des musulmans ou des juifs, ce n’est pas possible si on souhiate garder la fidélité à sa foi. Cependant, leut prière peut tout à fait atteindre Dieu, et peut-être mieux que la nôtre même !
 
Jésus n’est pas venu fonder une nouvelle religion : il est venu restaurer la communion avec Dieu le père. L’Eglise n’existe pas pour elle-même mais pour être une véritable adoratrice.
 
"L’essentiel, c’est d’avancer en trébuchant mais d’avancer"
 
Dieu m’aime tellement qu’il me choisit aujourd’hui pour être un adorateur malgré nos faiblesses et nos erreurs. Toujours avancer en avant !!!
 
Un grand modèle, c’est la Vierge Marie.
"Ecce" –> voici, me voici
"Fiat" –> que soit faite <-> que tout se fasse selon ta parole
"Magnificat" –> son chant d’action de grâce, d’adoration.
 
Ecce et Fiat, ça conduit à la joie et donc au magnificat !

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