Zabou the terrible

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Mot-clé - Fulgurances de sainteté

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jeudi, août 14 2014

Pour un Max de charité


"Dieu qui as mis au cœur de saint Maximilien Kolbe un ardent amour pour la Vierge immaculée et un dévouement qui l'a conduit à donner sa vie pour son prochain, accorde-nous, par son intercession, de nous dépenser pour ta gloire dans le service des autres en imitant ton Fils jusqu'à la mort." 


Oraison de la saint Maximilien Kolbe qui sonne comme un court résumé de sa vie. Son amour de la Vierge Marie, d'abord, si fort dans sa vie : depuis sa vision de la Vierge, lui proposant de choisir entre une couronne rouge, celle du martyre, et une blanche, celle de la pureté et lui embrassant les deux, résolument, jusqu'à sa fondation de la "milice de l'Immaculée" et au bout du bout de sa vie. 

Dépense totale et entière de sa vie pour le service de la gloire de Dieu, en tout. 

Mais j'avoue être surtout touchée pour ma part par sa mort : offrir sa vie à la place de celle d'un père de famille à Auschwitz. 


C'est fort en sens, c'est fort en beauté, c'est fort en charité. 


On pourrait facilement dire : Maximilien n'accordait plus aucune valeur à sa vie, c'était un religieux ! Je crois que c'est un peu plus profond que cela. 


Chacun, tous, nous sommes appelés à donner notre vie selon l'état de vie auquel nous sommes appelés : premier don de nous-mêmes, dans l'engagement total de notre être, bien qu'il ne se réalise que progressivement, au fur et à mesure que notre vie s'achemine vers notre mort. 

Une vie n'a jamais plus d'importance qu'une autre et ce serait faux de se dire : c'est par désintérêt et désamour de sa propre vie que Maximilieu a offert sa vie pour un autre le 14 août 1941. 

Non, c'est par Évangile de vie, par Charité, la vraie, celle qui pousse à admettre comme la plus belle qui soit la phrase "il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime". 

Ceux qu'on aime ? C'est-à-dire tous dans l'idéal de vie chrétienne ! 

Mais le père Maximilien a choisi de donner sa vie pour un père de famille, pour quelqu'un qui engendrait lui-même la vie, et la vie, et encore et toujours plus la vie. 

Mort féconde entre toutes, à contempler, car si proche de celle du Christ : 

"Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils l'aient en abondance." 

lundi, juin 3 2013

Jeunes et vieux



C’était il y a quinze jours, sept prêtres célébraient une messe de semaine.

Sept prêtres ordonnés la même année, il n’y a pas loin de cinquante ans,

Il y en avait un d’un peu bancal ; d’autres aux allures hésitantes,

Mais, à célébrer ensemble, dans leur âge diversement vécu,

Quand ils levèrent ensemble l’hostie, Vie de leur vie :

Qu’ils étaient beaux à voir !

 

Eux, je les vois souvent arriver à la dérobée, un peu en retard,

Ensemble, cela fait des années qu’ils y sont,

Engagés dans l’Eglise et l’église, ensemble encore,

Souvent, je remarque entre eux de tout petits signes de tendresse,

Et une qualité unique d’attention,

Qui me font sourire aux anges :

Eux aussi ils sont beaux !

 

Elle, de ma propre famille, elle totalise plus de 70 ans donnés à son Seigneur,

Je ne la vois pas souvent et puis, elle parle peu de Lui,

Sauf en quelques phrases qui font mouche…

Comme si sa tâche était de continuer,

Dans l’immense faiblesse du très grand âge,

A transmettre quelques clins-Dieu, égrenés :

Ô Beauté si ancienne et si nouvelle !

 

Bien des fois, je contemple les plus âgés,

Quel que soit leur « état » de vie, choisi ou pas vraiment,

Je cherche à deviner leur vie, leur joie, dans leurs regards,

J’apprends, à discuter avec eux quand je les croise, à lire le sens de leurs rides creusées par le temps,

J’apprends à les regarder autrement,

J’apprends beaucoup et vraiment d’eux, tout simplement.

 

On admire souvent l’élan de la jeunesse, les grands idéaux,

C’est grand et il y faut certainement autant de fougue que de folie consenties ;

Mais, souvent, je m’arrête pour contempler l’allant de l’âge avancé,

Pour ce qu’il vient, malgré les ravins, les gros et petits soucis, 

Me murmurer de poids solide et de fidélité,

Qui se font élans pour aider les plus jeunes à marcher.

 

Bien souvent, je me dis que j’aimerais mieux savoir leur dire merci.

 

jeudi, décembre 27 2012

Saint Jean divers

 

 

 

Aujourd’hui, il n’y a qu’un bond entre 1ère lecture et évangile.

 

« Ce que nous avons vu et ce que nos mains ont touché »

Témoignage de l’apôtre qui vécut avec le Christ, qui a vu le Christ, qui a touché le Christ :

Ce que nous sommes, parfois.

« Il vit et il crut » :

Admirable Foi de saint Jean qui ne voit que les traces de l’absence d’un corps, qui n’aperçoit que l’absence et qui croit :

Ce que nous sommes, parfois.

 

Tension entre le visible et l’invisible ;

Entre les reliefs éminents de nos vies qui semblent signes de la présence de Dieu et les creux en dépression qui semblent signer Son absence dans chaque existence ;

Faire le lien,

Être le lien

Parce que, dans les deux cas, c’est le même saut de la Foi qu’il y a à faire

Pour apprendre à regarder, car présence et absence ne sont jamais irrémédiables évidences ;

 

Pour apprendre à vivre de la Foi,

Apprendre à se laisser désigner à l’instar de ce saint Jean comme « ce disciple que Jésus aimait »,

Pour puiser en Son amour,

Sur Son cœur,

L'amoureuse audace d’écrire et d’inscrire un Évangile dans nos jours.

 

 

mercredi, décembre 21 2011

Santons mais pas sans teint


La crèche, c’est toujours un joyeux bazar, surtout quand c'est moi qui l'organise ! 

 

 

 

Elle est grande, bizarrement installée pour éviter les atteintes d’un roux félidé mais, surtout, constituée de toute une humanité « santonnée ».

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vendredi, juillet 22 2011

"Je l'ai vu !"... Egoque ?

Fête de sainte Marie-Madeleine

 

Celle-ci, elle n’a pas l’assurance des savants, elle ne sait pas…

Elle n’a pas non plus la peur aux ventres des apôtres : pourquoi donc craindre ?

Elle, ce qu’elle sait, c’est qu’elle aime.

Dans le fond, elle ne sait, elle ne fait que cela : elle aime, elle l’aime.

Lui, Celui qui a  bouleversé sa vie : d’un mot, d’un geste, d’un simple regard… 

La mort n’est pas obstacle suffisant pour qu’elle L’oublie.

 

Elle ne peut même pas attendre le jour pour s’élancer vers ce qui reste de Lui tant son cœur est plein de désir, tant son cœur est plein de Lui.

 

Confrontation à l’Absence,

L’absence rendue plus rude encore ;

Larmes qui valent plus qu’un long discours.

 

Et pleurer, mais aimer.

 

Et, à travers ce rideau des larmes, à travers ces perles d’Amour,

Distinguer difficilement puis entendre une voix, qui appelle toujours par son nom.

 

Reconnaître, croire en cet appel,

Mais ne pas rester là, à tenir Celui qui nous échappe.

 

« Tu m’aimes ? Alors va… »

 

vendredi, juin 24 2011

S1jibé – Au fil des jours et des ans…

 

24 juin : Nativité de St Jean-Baptiste ;

une date que j’aime, un saint que j’apprécie beaucoup.

 

J’aime saint Jean-Baptiste parce que, déjà dans le sein de sa mère, il sait reconnaître le Christ qui vient à lui, et en tressaillir de joie ;

J’aime saint Jean-Baptiste parce qu’il annonce le Christ, même quand il semble n’être qu’une voix criant dans un immense désert ;

J’aime saint Jean-Baptiste parce qu’il se sait indigne – même d’enlever la courroie d’une sandale ! – mais qu’il s’avance, malgré tout, pour accomplir ce qui lui est demandé.

 

En fait, j’aime saint Jean-Baptiste en ce qu’il est le modèle de chacune de nos vies chrétiennes…

 

« Il faut que Lui grandisse et que moi, je diminue » : il est celui qui nous apprend à faire signe non pas vers nous-mêmes mais à faire signe vers le Christ.

Non pas d’un simple geste, mais par toute sa vie, par toute notre vie, 

Pour que, toujours, ce soit Lui qui grandisse.

 

mardi, novembre 2 2010

Le 1 et le 2, ça fait tout un.



         Il est inutile de le répéter : un catholique, ça a du mal avec les maths, ce n’est pas neuf. Mais il a beau croire en l’Un trine,  il dit et re-dix peut-être pas tout à fait en vain que le 1er et le 2 novembre, ce n’est pas tout à fait pareil. Le 1er fête tous les saints, le 2 tous les fidèles défunts. Voilà des années que j’ai intégré la différence – du moins, je l’espère à défaut du reste – et que je me rends à peu près pieusement, en somme, à la messe et le 1 et le 2. Multiplication d’offices ?

 

       Pourtant, à vouloir trop marquer leur différence, n’en ai-je pas perdu le sens profond qui sous-tend et rassemble les deux fêtes ?

 

C’est la réflexion que je me faisais tout à l’heure, en pleine messe du 2 novembre. J’aidais les personnes, à l’appel du nom de leur proche décédé, à allumer un petit cierge au cierge pascal et à placer celui-ci ensuite dans une vasque. Du sable qui l’emplissait a alors surgi, peu à peu, une lumière, qui devenait de plus en plus forte, de plus en plus rayonnante, de plus en plus lumineuse… c’était vraiment beau de la voir briller cette lumière !

 

          Si certaines de ces personnes venaient décidées, leur pas assuré, d’autres, à l’inverse, étaient encore marquées par le chagrin et le doute ravinait leur visage. Pourtant, pour tous, le visage s’éclairait à la lueur de la chandelle qu’elles tenaient tour à tour en main, allumée au feu symbolisant leur baptême : jeu inédit d’ombre et de lumière, jeu inédit des personnes, des « je » pour autant de « je » passés à la rencontre du « Tu ». Lumière qu’ils recevaient tout autant qu’ils apportaient : mouvement de l’Amour.  

 

Cette lumière, c’était celle de l’Amour, celle dont rayonnent, justement, les saints. C’est pour cela qu’elle devenait toujours plus forte en devenant plurielle : mystère de communion.

 

J’aime vraiment bien l’idée que des tremblotantes lucioles de l’espoir « quand même », allumées à cette petite fille sans prétention qu’est l’Espérance, peut se laisser entrevoir la lumière de la sainteté : lueur reçue pour rayonner, vies données pour ensemencer l’humanité.

 

mercredi, septembre 15 2010

En marge mais pas tant : des hommes et des mots

    A Midelt, au Maroc, se trouve le monastère N.-D. de l'Atlas, continuation d'un autre N.-D. de l'Atlas, plus célèbre : celui de Tibhirine. Là se sont retrouvés, avec d'autres frères, les deux survivants fr. Amédée (décédé d'ailleurs quand j'étais là-bas) et fr. Jean-Pierre (qui y est toujours) pour poursuivre leur présence en terre d'Islam. Il s'y trouve aussi un oratoire à la mémoire des 7 frères assassinés, orné de leurs portraits. 

   Lors d'un volontariat sur place en juillet 2008, nous travaillions avec des musulmans et, tous les deux-trois jours, nous nous retrouvions pour échanger sur des thèmes, liés à notre pays, notre culture ou notre religion. J'avais pris en charge la préparation de l'échange sur la prière et, du coup, avant et pendant le séjour, c'est dans les textes de fr. Christian de Chergé que je me suis plongée. Leur lecture a finalement accompagné mon volontariat, et même plus, au-delà. 

    C'est pourquoi, quelques jours après la sortie du film "Des hommes et des dieux", j'ouvre mon carnet personnel au mois de juillet 2008 et retranscris ici, comme en marge, les propos (an)notés d'un qui voulait être un frère. 


« La rencontre est un regard vers le paysage de l’autre »

 

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« Plus immense est l’espérance, plus grande est l’échelle, mieux elle sait d’instinct qu’elle ne saurait s’accomplir qu’en s’investissant résolument dans une longue patience. C’est au jour le jour qu’elle aura à se vivre, à s’entretenir. Tous les petits gestes lui sont bons pour se dire. Un verre d’eau offert ou reçu, un morceau de pain partagé, un coup de main donné, parlent plus juste qu’un manuel de théologie sur ce qu’il est possible d’être ensemble. (…)

 

Aller vers l’autre et aller vers Dieu, c’est tout un, et je ne peux m’en passer. Il y faut la même gratuité. (…)

 

Nous ne voulons pas nous engager avec vous dans une discussion dogmatique. Nous nous sentons appelés à l’unité. Dans le dogme ou la théologie, il y a beaucoup de barrières qui sont le fait des hommes. Nous souhaitons ici laisser à Dieu la possibilité de créer entre nous quelque chose de nouveau. Or cela ne peut se faire que dans la prière.

 

<citant Mgr Tudtud> “La présence chrétienne ne peut être celle d’un observateur réformateur, donateur ou bienfaiteur. Ce n’est pas une présence entourée d’une aura de supériorité ou d’expérience. C’est une présence de totale solidarité et d’authentique sympathie avec les musulmans, sur un plan d’égalité. Et tous ceux qui viennent pour vivre parmi eux doivent « retirer leurs chaussures » comme Moïse, car la terre qu’ils vont fouler est sacrée : Dieu est déjà présent avant qu’eux n’arrivent” »

 

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« Entre l’avoir et le pouvoir, la foi nous dit, ici et là, qu’il y a place pour un “tiers-monde” inédit ; celui de l’ESPERANCE. »

Fr. Christian de Chergé


mercredi, janvier 27 2010

Et c'est ainsi qu'il est grand...

 

Instants rares où tout se fait silence :

Prosternation, adoration,

Hommes et anges à genoux.

 

Tout respire l’humilité,

Tout semble vraie liberté,

Genoux pliés, tête inclinée.

 

Il n’y a rien ici sinon la nudité d’une croix.

Mais peut-être y a-t-il finalement tout,

Dans un silence d’en bas qui est concert d’en-haut,

Dans la discrétion d’un silence, si plein qu'il révèle la profondeur d’un amour.

 

dimanche, décembre 6 2009

Pierre qui vive

Je revois ses yeux écarquillés quand, ayant regardé ma montre et dit qu’à cette heure là, normalement, on était à la paroisse, elle me répondit, comme frappée d’une idée soudaine :

 

« Mais… Mais comment ils vont faire les prêtres sans nous ? »

 

Petit rire charmé.

 

Bien sûr, c’est mignon, c’est rêveur et l’on adopte vite le sourire condescendant de l’adulte amusé des réflexions naïves de l’enfant : comme si le prêtre ne savait pas se servir des burettes tout seul comme un grand !

 

Dans l’absolu, c’est bien vu, terriblement bien vu. Et d’une pertinence à remuer nos âmes d’adultes, si habituées.

 

Comment les prêtres vont faire sans les servants, cela veut dire "comment les prêtres si pas les laïcs ?" . Et cela signifie surtout une question lancée à chacun : comment Dieu fera-t-il sans moi, si je ne viens pas prendre ma place ?


lundi, novembre 9 2009

Un vrai scandale !

 

« La bonté de Jésus Christ

Si nous la vivions comme l’épiderme

De la charité de Jésus,

Elle serait révolutionnaire,

Car rien au monde n’a ses exigences,

Rien au monde n’a ses dimensions

 

Personne sauf Jésus Christ n’a demandé à notre cœur

D’aimer chacun de tous les hommes,

De l’aimer jusqu’au bout

Et de l’aimer en toutes choses.

 

Mais quand un homme a été aimé de cet amour-là

Il en garde le souvenir,

Et ce souvenir devient à son tour

Comme un pressentiment de l’amour même de Dieu. »

 

Madeleine Delbrêl, le 28 février 1961.

 

Madeleine, une femme ordinaire vraiment extraordinaire…

Vous connaissez ? À découvrir aujourd’hui dans la sacristie !!!

 

mercredi, septembre 9 2009

La sainteté selon Bloy

  

          « J’affirme que la Sainteté n’est pas autre chose que l’épanouissement heureux et complet de l’individualité et que l’étouffement de celle-ci est une œuvre démoniaque. Plus on est saint, plus on est singulier, à commencer par Saint Ignace de Loyola, qui fut le plus grand original de son temps. »

 

6 juillet 1908

In Journal, Léon Bloy

 

jeudi, juin 4 2009

Par amour !

 
Retraités-confirmands 2009
 
Une fois pour toutes t’est donné ce court précepte : Aime et fais ce que tu veux !
Si tu te tais, tais-toi par amour.
Si tu parles, parle par amour.
Si tu pardonnes, pardonne par amour.
 
Aie au fond du cœur cette racine de l’amour :
de cette racine, il ne peut rien sortir que de bon.

 

 in Saint Augustin, Iam Jn VII, 8

 

(Non, je ne suis pas en train de chercher à caser du saint Augustin dans mon mémoire, non.... qu'est-ce qui vous fait croire ça ? Enfin... si, bon, ok)

 

mardi, mars 11 2008

De l'écoute...

 
 
"Il est écrit que les grandes vérités ne se communiquent que par le silence. Si vous voulez aprivoiser la nature, il ne faut pas faire de bruit. Comme une terre que l'eau pénètre. Si vous ne voulez pas écouter, vous ne pourrrez pas entendre."
 
in P. Claudel, Le soulier de satin
 

dimanche, mars 9 2008

Carême - Conversion

 
 
"La patience de Dieu veut t'amener à changer de vie, est-ce que tu ne le sais pas ?"
 
D'après la Règle de St Benoît
 
 

lundi, octobre 15 2007

15 octobre : Sainte Thérèse d'Avila

 
Les saints, veilleuses témoins sur le chemin vers la Lumière ?
 
          Aujourd'hui, nous fêtons la grande réformatrice du Carmel : sainte Thérèse d'Avila. Je ne vous raconterai pas sa vie que l'on peut trouver à divers endroits (par exemple ici en version courte ou là en version un plus longue).
 
          Cette mystique, grande directice d'âmes, fut également une plume prolixe. On peut redécouvrir sur ce blog son célèbre poème "Alma, buscarte has en mi" (en français ! Je ne suis pas hispanophone...). Je vous propose de découvrir "Nada te turbe", autre très beau poème, sous sa version remanié par la communauté de Taizé : mp3 téléchargeable iciet partition à 4 voix là.  
 
          Parce que vous êtes sur le blog de Zabou et que j'aime ce qui est joyeux, c'est une anecdote assez amusante concernant cette sainte que je vous narrerai ce soir (certains d'entre vous la connaissez déjà mais les autres pourront ainsi connaître THE grande particularité de cette sainte). Nous sommes aujourd'hui le 15 octobre, jour de sa fête. Mais savez-vous la date de sa mort ? On me souffle 1582... Oui, c'est cela mais le jour ? Eh bien, cette sainte fut victime, si l'on peut parler ainsi, du.... passage au calendrier grégorien ! Elle décéda ainsi dans la nuit du 4 au 15 octobre ! Surprenant, non ?
 
 

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