Zabou the terrible

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vendredi, décembre 5 2008

De l'imagination selon J.-K.

 
"L'imagination est décidément une bien belle chose ; elle permet de prêter aux gens des idées encore plus sottes que celles qu'ils ont eues sans doute"
 
in Joris-Karl Huysmans Croquis parisiens.
 

mardi, décembre 2 2008

Non, ça recule !

 
 
Moi, c'que j'aime bien, à la Sorbonne, c'est de parfois y croiser d'anciens profs / chargés de TD m'ayant supportée.
 
Moi, c'que j'aime bien, c'est qu'on puisse user avec eux de mots latins ou grecs en conversation sans que personne ne soit choqué par votre infâme pédanterie et ne vous raille : tout cela est normal.
Moi c'que j'aime bien, c'est qu'on peut s'y mettre à parler de "mysticisme" ou même d' "érotisme" dès la 3ème phrase sans que cela paraisse incongru : là encore, c'est normal. [A ce propos, un de mes tutorés vendredi a eu une illumination fulgurante : "Ici, tous les profs sont malades -vous comprise d'ailleurs- mais malades de la tête. Alors c'est normal". Je trouve que ce jeune homme dispose d'une capacité d'analyse supérieure à la moyenne : il ira loin]
 
Moi, c'que j'aime bien, c'est qu'ils demandent mon sujet et qu'ils comprennent sans que je répète. Et sans éclater de rire comme la plupart de mes amis.  
Moi c'que j'aime bien, c'est quand ils me disent que c'est un beau sujet. [... mouais, va falloir transformer ça en beau mémoire ?]
 
 
Mais moi, c'que j'aime moins, voire pas du tout, c'est quand ils posent la Question Interdite, "Celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom" :
 
Alors, ça avance ?
 

samedi, novembre 22 2008

Irréelle réalité ?

 
         Durant la froide saison, la jeune masterante, imitant le comportement de ses glor-i-eux aînés, aime se réfugier dans de belles bibliothèques auxquelles elle a enfin le droit d'accéder, munie de tout son arsenal (attention, c'est un indice) de travail. Découverte passionnée de nouveaux lieux de culture, où l'on apprend peu à peu à se mouvoir, à évoluer.  
 
 
            L'après-midi se passe en de palpitantes découvertes, qui n'intéressent sans doute que la jeune masterante. Qu'importe, elle est contente, même si son dos fait parfois entendre de sinistres craquements et que ses jambes aimeraient éviter l'immobilisme qu'elle leur impose. Elle rit même doucement à un moment particulièrement délicieux de l'ouvrage de sa bibliographie qu'elle "dépouille" méthodiquement (because : you must obey to the master comme dirait une de mes éminentes collègues).
 
            La masterante, outre les notes prises sur son fidèle HP, destrier de l'information stockée, toujours prêt pour les aventures les plus épiques, tient une sorte de carnet de bord de son mémoire. Bordélique au possible, il recense de simples pensées, des ébauches de plan, des questions graves ou légères... bref, un peu de tout mais toujours en lien avec le sujet.  
 
 
                Quand le soir vient, les pensées se font éparses et les liens plus difficiles. L'heure de la relecture éventuelle à la maison devient alors moment de surprise. Ah ? J'ai donc écrit ça ? Mouais...
 
                Ce soir, la question entourée en rouge sur l'image précédente retint particulièrement mon attention. Ahum.
 
 
Ne me cachez rien : est-ce grave ?
 

mercredi, novembre 19 2008

Mon blog devient hot

               Depuis ma décision incroyable de poster ici une citation de Jean-Pierre Richard -auteur hautement compromettant pour les jeunes cervelles en dessous de 18 ans, vous en conviendrez- un afflux massif de visiteurs en provenance directe du plus célèbre des moteurs de recherche se crée par ces mots « blog érotique », me questionnant plus profondément chaque fois…

                … quelle est la tête de ces internautes quand ils tombent sur mon blog ? Mes outils de stat ne me donnent hélas pas encore accès à leur webcam et il m’arrive de le regretter.

                Travaillant actuellement pour un cours sur La Fable mystique de Michel de Certeau, l’extrait ouvrant la conclusion de l’ouvrage m’a semblé pertinent car Beau  et permettant de donner une fois de plus du grain à moudre à mes multiples visiteurs en quête d’Eros (transgressif ? Qu’ils prennent garde à Anteros ceci étant !)

Ouverture à une poétique du corps

L'Abandon, Camille Claudel

Très haut amour, s’il se peut que je meure

Sans avoir su d’où je vous possédais,

En quel soleil était votre demeure

En quel passé votre temps, en quelle heure

Je vous aimais.

Très haut amour qui passez la mémoire

Feu sans foyer dont j’ai fait tout mon jour,

En quel destin vous traciez mon histoire,

En quel sommeil se voyait votre gloire,

Ô mon séjour…

Quand je serai pour moi-même perdue

Et divisée à l’abîme infini,

Infiniment, quand je serai rompue,

Quand le présent dont je suis revêtue

Aura trahi,

Par l’univers en mille corps brisée,

De mille instants non rassemblés encor,

De cendre aux cieux jusqu’au néant vannée,

Vous referez pour une étrange année

Un seul trésor.

Vous referez mon nom et mon image

De mille corps emportés par le jour,

Vive unité sans nom et sans visage,

Cœur de l’esprit, ô centre du mirage

Très haut amour.

Catherine Pozzi.

 

mardi, novembre 11 2008

Bol d'air

 
Vertigineuses pensées...
 
pour cerveau éreinté
 
= Zabou reboostée.
 
Au travail !

lundi, novembre 10 2008

L'encouragement du jour (10 nov. 2008)

 
"Mais la recherche, c'est ça !!! On patauge, on patauge ! On n'y arrive jamais du premier coup ! Sinon, la recherche ça ne servirait à rien si on avait déjà trouvé !

Donc il est normal que vous pataugiez !"

P.G.
Merci M'sieur ! Clin d'oeil

jeudi, novembre 6 2008

En guise d'incipit...

 
"Il faut que je me réjouisse au-dessus du temps...., quoique le monde ait horreur de ma joie, et que sa grossièreté ne sache pas ce que je veux dire."
 
Rusbrock l'Admirable
 
~Epigraphe d'A rebours~

jeudi, octobre 30 2008

Petit lexique du masterant sorbonnard

 
 
 

Bibliothèque : la tanière du masterant et de ses aînés thésards. Il y vit et la repousse tout à la fois, dans une relation complexe, faite d’amour et de haine. Lieu de sapience, lieu silencieux et sacré, la bibliothèque est aussi le lieu où il souffre, par ses yeux déchiffrant de minuscules notes de bas de page, par ses jambes qui en ont marre d’être ainsi repliées, par son dos qui n’aime pas le dossier en bois de la chaise trop longtemps, par son esprit qui divague parfois au loin… O bibliothèque… !!!!

Communication : 1. Tout change de nom. Mutatis mutandis, il s’agit d’un exposé d’étudiant plus érudit, plus long,  plus classe, fait généralement par de vénérables professeurs (loués soient leurs noms !) ou leurs thésards dans lequel le délai imposé par le maître de jeu (comprendre le directeur de la séance) n’est jamais respecté.

Ex : « Je vous donne 25 min ? » « oui, ça ira ». 30 minutes après se tournant vers le Mdj : « mais je suis peut-être en train d’abuser…. » « Encore 5 min ? ». 10 bonnes minutes plus tard, la communication prend fin… mais il reste les questions (voir ci-dessous) ! Ah, quand on est passionné…

2. Il est d’usage d’applaudir après une communication : l’histoire ne dit pas si l’on a droit à un bis en cas d’applaudissements particulièrement nourris.

Compte-rendu : Nouvel exercice auquel le masterant doit se rompre. « Vous me ferez un compte-rendu… ». Certes. Mais personne n’a jugé bon de lui expliquer ce qu’il doit exactement y faire. Alors, il inventera et priera très fort pour que cela passe.

Directeur : Professeur auquel le masterant a prêté allégeance, devenu donc de ce fait « son directeur ». Dans le fond, le masterant connaît encore mal son directeur mais il ne peut s’empêcher d’en parler avec ses petits camarades de jeu et de l’admirer. Et chaque masterant d’admirer son directeur : c’est beau.

Horaires : non, impossibles à tenir : que diable, nous ne sommes pas des scientifiques ! Et la séance de 3 heures durera toujours 4. Normal.

Mémoire : chuuuuuut !

Professeur : Pour cette question, je ne peux que vous renvoyer à l’excellent travail synthétique de ma collègue Melle Maggy qui a payé d’elle-même pour écrire ce fabuleux comparatif « France/Ecosse », qui ne permet au final que de mieux comprendre ce qu’est un professeur de la Sorbonne. Un vrai.  

Questions : Après les communications, ecce rogationum tempus ! Et là, le masterant, stupéfait, voit se lever des mains de profs. Pas toujours pour des questions, plutôt pour des précisions sur les liens à faire avec telle œuvre, ou tel auteur, comme ça, de tête, sans notes. Le masterant se dit qu’un jour, lui aussi, il aura la classe.

Table ronde : « J’ai eu l’idée d’une table ronde. » : ah, Kaamelott ?

Des gens proposent des « communications » (voir ci-dessus) plus courtes mais je n’ai pas encore réussi à constater d’autres différences : peut-être est-ce parce qu’il est délicat de monter une table ronde au 3ème étage de la Sorbonne ? Surtout dans un amphithéâtre ?

A suivre.

 

dimanche, octobre 19 2008

Dans l'Octave de la rentrée

Montaigne, Protecteur de la Sorbonne et des Sorbonnards
 

J’vous ferai pas le coup du bilan chaque semaine, oui, promis, mais ça fait une semaine que je suis rentrée et donc une semaine que j’ai pu goûter à ce qui constituera sans doute les grandes lignes de mon quotidien cette année, avec charge pour elles de se courber et de se perdre en quelques volutes quand l’esprit flambera trop : indispensable, la ligne droite n’étant pas forcément le meilleur chemin.

 

Une semaine de folie.

 

Où j’ai vu qu’entrer en master, c’était se rendre compte encore plus de son ignorance monumentale.

Où j’ai vécu qu’entrer en master, ce n’était pas « ne pas avoir beaucoup de cours et tu fous rien » mais lire, penser et écrire beaucoup : se cultiver, par goût mais aussi pour combler quelques pans de l’ignorance précitée.

Où j’ai compris, un peu, par cette entrée en master, pourquoi les professeurs parlaient d’un air ému de « leurs maîtres » et non pas de leurs professeurs quand ils évoquaient leur passé : après la licence, tout prend une nouvelle dimension.

 

                De la licence où l’on nous biberonnait délicatement, pauvres bébés ignorants pseudo-lettrés, nous voilà plongés dans un monde de pensées, un peu perdus, avec un objectif qui semble lointain et inaccessible et qui a pour nom mémoire. Fou… mais exaltant et passionnant !

 

Et, pour finir, une petite citation de la semaine : « Tu lis ? Mais c’est que tu bosses pas, donc. » Ah ouais ?

 

lundi, octobre 13 2008

C'est la rentrée

 

Aujourd’hui, c’est la rentrée, ma rentrée, aussi incongru cela puisse paraître quand on commence à voir dans le même temps des calendriers de l’Avent en vente dans les supermarchés. Mais, ne vous en déplaise, c’est ma rentrée.

 

Aujourd’hui, pour la première fois, ma rentrée sera de l’autre côté du bureau. Avant celle d’un côté plus habituel pour moi le lendemain. Etrange.

 

C’est la rentrée. Pas d’effervescence. Pas d’excitation. Ou plutôt si, c’est vrai, je ne peux m’en empêcher, côté « grande gamine » rivé au cœur oblige. Et puis, de la joie –beaucoup !- et de la crainte –un peu !- mêlées : découvrir, transmettre, chercher, lire, annoter, écrire, tant de choses que j’aime mais… mais la question se fait parfois lancinante face à la montagne qu’il me semble aborder ce jour : seras-tu à la hauteur ?

 

Quatre mois ou presque de vacances, c’est assez pour oublier. C’est assez pour s’émerveiller et grandir. On y perd sans doute quelques une de nos capacités de rédaction formelle mais l’on se découvre soi et pourtant changée quand la plume prend un chemin de traverse sans nous consulter. Tant de choses vécues ne sauraient laisser dans l’indifférence.  

 

Je rentre. Dans mon cartable, beaucoup de visages rencontrés et d’expériences fortes, tout simplement vécues. Aussi éloignées semblent-elles, ces expériences estivales semblent mystérieusement liées à mon quotidien, dans cette année qui s’ouvre. Continuer à les faire vivre, comme s’il y avait ou en réalité parce qu’il y a, je le sais, comme un lien qui sous-tend tout cela. Parfois mystérieux, parfois plus clair : question de regard.

 

C’est la rentrée.

C’est parti ?

C’est la Vie, avec son impératif engageant : vis, vivons, vivez !

 

lundi, octobre 6 2008

Cri du coeur ?

 
          Tandis qu'il leur reste une semaine de vacances, les neo-masterants sorbonnards 2008-2009 commencent le labeur qui les accaparera toute l'année : leur mémoire sur leur sujet (rajoutez un coeur possessif, catégorie grammaticale qui leur est propre, vous y serez). Bien loin de la rédaction, ou même d'un éventuel plan -et lorsqu'il ne traînent pas désemparés dans les couloirs antiques de leur fac adulée (Eheu ! O tempora ! O mores ! Quand reprendront donc les cours ?)- ils méditent gravement, cherchent et compulsent avidement de savants ouvrages bibliographiques. Ces derniers les envoient vers d'autres mines de connaissances, ouvrages critiques, revues aux noms étanges et même actes de colloque. Colloque ? Ce nom retentit. Il fait envie au jeune masterant, il le fait même rêvasser à des journées entières qu'il pourrait passer assis à prendre des notes et surtout à écouter ses maîtres vénérés en pliant des grues... Aaaah...
 
          Mais enfin, non, le neo-masterant est encore jeune et doit prendre encore de la bouteille pour y parvenir (comme le notait hier Chapot'pot' d'ailleurs, dans son sermon en ces mots : "Le Seigneur donnera sa vigne aux paï(y)ens"). Pour cela, il doit se nourrir de ces actes et créer des liens avec son ouvrage étudié (l'étude de moeurs viendra plus tard mais votre sagacité aura dès à présent remarqué le haut degré de possessivité du neo-masterant). Alors, exhibant fièrement sa carte de bibliothèque au code-barres rutilant, il emprunte l'ouvrage et commence à l'éplucher méthodiquement. Il note, annote ce qui dénote et son nom devient alors connoté de studiosité.
 
          Ses illustres prédécesseurs ont parfois jugé bon de se servir de l'ouvrage comme support de leurs propres notes et c'est sans y penser qu'il les parcourt, prophétie possible de son propre destin. Certaines semblent refléter l'état de l'âme du vetero-masterant et le neo-masterant  ne peut que s'interroger face à certaines citations sur lesquelles il tombe.

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Quid faciam ?
 
Mais surtout...
 Nooooooooon, je ne veux/peux pas avoir lu tous les livres un jour,
Non, non, non,
Réveillez-moi de ce cauchemar !
 

samedi, octobre 4 2008

Dur, dur de travailler à la maison !

 
 
 Coucou !
 
 
Et dire que l'auteur de ces pitreries est aussi celui de mes jours ! Grenouille
 

vendredi, octobre 3 2008

Réunion administrative ou l'éclate totale

Je dédie ce poème (hum…) à une expatriée.

 

¤ Lieu et assistance : amphi Guizot pour M1 et M2 recherche en littérature. Lieu trop petit, du monde par terre, debout dans le hall des amphis… pour un joyeux foutoir : vive la rentrée ! M’enfin, c’est toujours en Sorbonne, o gaudium !

¤ Maître du jeu : P. F (prof de L2 en littérature classique pour trouver qui se cache derrière ces initiales mystérieuses. Et l’un de mes profs au semestre 2 de cette année d’ailleurs). En acolytes avisés, les directeurs des UFR de grec et de latin (je n’ose mettre leurs initiales car celles de l’érudit helléniste seraient disgracieuses comme chacun sait).

 

…. MELANGE…

 

Obtention d’une heure de réunion pleinement belle dans son sens kantien, où les réformes des concours de l’enseignement sont abordées pour arriver à la conclusion qu’en fait nous n’en savons rien, nous ignorons tout : gnothi seauton before, sans doute. Où nos choix de séminaires sont abordés par un P.F. hilare lançant que « le master, ce n’était pas comme quand vous allez faire vos courses au supermarché avec un caddie vide et que vous prenez n’importe quoi ! ».

 

C’est également à lui que revient la phrase du jour, réponse à la  pertinente question :

-Les cours sont-ils obligatoires ? 

 

« Ecoutez, je suis responsable du master et professeur depuis des dizaines d’années, je n’ai jamais dit et ne vais pas commencer à dire que les cours ne sont pas obligatoires…

Ceci étant [le sourire pointa à la commissure de ses lèvres], j’ai toujours vu les étudiants se débrouiller quand ils avaient deux cours à la même heure et tout valider. »

 

Avis aux entendeurs.

 

dimanche, septembre 28 2008

Des mots pour des modes

 
C'est fou ! Je viens de m'apercevoir qu'il existait un mode "master 1"dans mon portable !
 
 
Bon, cela m'a moins fait rire quand j'ai découvert l'existence d'un mode "administration", automatique, et ce même durant les jours ouvrables  
 

mercredi, septembre 24 2008

Enquêtons

Extrait d’une enquête réalisée dans un microéchantillon de l’entourage zabouien :

- A rebours ? Mais c’est ardu / pas joyeux-joyeux  / à se flinguer / inutile / quoi ? / morbide / fou / névrosé / incompréhensible / trop catholique / non conforme au Magistère / décadent / vieilli / illisible / inconnu / tu préfèrerais pas un écrivain normal comme Zola ? / chiant / décalé.

- M’en fous. Moi, j’aime bien.

Et je m’en vais rédiger au moins 60 pages dessus :

sus aux insupportables censeurs et taïaut !!!!



lundi, septembre 15 2008

Ins(a)tané msn !

 

Maggy  dit :

quelle formule de respect utilises-tu à la fin des mots doux que t'envoies à ton prof ??

Zabou :) dit :

Gros poutoussssssssss

 
J'aime donner des conseils pertinents aux p'tits jeunes. Chaud
 
 

vendredi, mars 14 2008

Gamineries

 
 
J'ai un directeur de mémoire pour l'an prochain,
j'ai un directeur de mémoire pour l'an prochain
j'ai un directeur de mémoire pour l'an prochain !!! Rire
 
+
 
Mon oral de litté s'est bien passé...
 
Soir de liesse façon gamine.
Mais ça fait parfois du bien.
 
 
(pour en savoir un peu plus sur mon gourou de l'an prochain : c'est ici)

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